La Ville Médiane • Datamorphoses

La Ville Médiane • Datamorphoses [ Extraits ]

Pontault-Combault - Seine-et-Marne - Printemps 2020
Les sismographes / CGET
 

 « En regardant les images de Pierre-Yves Brunaud, je pense à la ville augmentée, cette ville qui permet d’accéder à un degré supérieur de réalité grâce aux datas. La société produit en effet massivement des données permettant par des indicateurs, des mesures, et jusqu’à de simples clics, de comptabiliser, de quantifier, de rendre toute chose comme tout comportement humain, mesurable. Les algorythmes et les big datas sont devenus omniprésents dans nos vies. C'est désormais à travers cette couche épaisse d'informations et de calculs que l'on regarde ce qui nous entoure. La ville n'y échappe pas. Les opérateurs urbains, les architectes et urbanistes des systèmes d'information, les géants du net investissent d'ailleurs massivement dans la Smart City.

 

Si la ville de Pontault-Combault ne joue pas forcément dans cette cour, elle peut elle-aussi être vue à travers la numérisation, les statistiques, les histogrammes, les images-satellites innombrables que l'on trouve sur le web et dans les bases de données. L'idée ingénieuse de l’auteur est de projeter ces données, de les incruster sur le paysage urbain et non seulement de créer une esthétique inattendue, un e-street-art, mais surtout de nous doter d’un regard informé, en nombre de décibels, en surface agricole consommée, en vue aérienne, etc. A défaut d'avoir les yeux rivés à son écran de smartphone, on découvre, émerveillé, le paysage urbain intelligent qui nous est donné à voir. Nous aurions eu tendance à sous-estimer la quantité d’informations qui existe y compris pour un lieu sous-estimé comme Pontault-Combault… »

Florian Muzard, DGALN / CGET / Ateliers des Territoires
 
***
 

Un soleil insolent brille sur la zone commerciale déserte ; seul l’hypermarché, dit commerce essentiel, est ouvert au public, collé-serré contre une bretelle de la Francilienne. Malgré la forêt toute proche, la zone est un véritable four, avec ses boîtes à chaussures bardées de galvanisé et ses dizaines d’hectares de stationnement goudronné. Voilà encore un bel exemple d’îlot de chaleur urbain ! Un de ces lieux exceptionnels où croiser un arbre relève de la rencontre exceptionnelle…

Je continue tranquillement à faire le tour de la commune à vol d’oiseau, en caressant ma souris depuis la fraîcheur de mon studio, à des kilomètres de là... Tiens, quel bel escargot par ici !? c’est une magnifique impasse pavillonnaire ! Et là, cette demeure cossue, avec tennis et bouquet d’arbres ? Ah la précision des prises de vues satellites…

 

Vu du ciel, c’est assez clair. C’est le point de vue de l’urbaniste dominant, voire du stratège militaire.
Vu du sol, c’est une autre histoire. En 2019, dans le cadre d’un workshop avec le CGET portant sur la « ville moyenne », j'avais réalisé un inventaire photographique méthodique des typologies urbaines de la commune, en sillonnant tous ses quartiers. C’était dans le monde d’avant, lorsque je parcourais le Grand Paris en tous sens, avec mes amis sismographes…

A la faveur du confinement, je replonge dans cette collection de paysages urbains : même soigneusement réfléchi et réalisé, ce travail me paraît finalement insuffisant pour rendre compte de la diversité des situations urbaines de cette commune francilienne. Avec la volonté d'épaissir les images et de faire parler les murs, je me lance alors frénétiquement dans la recherche des données disponibles sur les espaces et les populations de la ville : données géographiques, urbaines, sociales, démographiques, environnementales ; Ademe, Apur, IAU, Insee, Googlemaps... Autant de datas, cartographies, vues satellites, histogrammes, statistiques, graphiques ou légendes qui se bousculent sur mon disque dur.

J'entreprends ensuite de fusionner ces images avec les données collectées, de façon à réaliser une série de photographies "augmentées". Chacune des typologies retenue me raconte une histoire ; me guide vers le choix d'un type de données correspondant, qui vient s'intégrer directement dans l'image ; sur une surface, un volume, une texture, un linéaire... de façon très visible parfois, ou au contraire plus discrète, pour donner naissance à ces « Datamorphoses ».


Est-ce la richesse et la diversité du panorama urbain offert par Pontault-Combault, ville moyenne du Grand Paris, qui m'ont guidé vers cette méthode de travail aux croisements de l'enquête de terrain, de l'expérimentation scientifique et de la création ? Ou peut-être est-ce également la modalité de la collaboration avec une institution publique, dont les rapports fournis sont justement bâtis sur la production et l'analyse de ces précieuses données ?

A l’instar du CGET, l’Institut Paris Région m’a offert des trésors de connaissances appliqués à cette petite commune d’Ile-de-France. Le confinement et l’impossibilité de se déplacer m’ont en tout cas permis d’explorer en profondeur le rapport que peuvent entretenir les données collectées sur un territoire, et leur juste représentation.

 | 3.3. La zone UC 
La zone UC correspond au tissu pavillonnaire, divisé en trois secteurs (UCa, UCb, UCc). La réglementation de cette zone permet la préservation des formes urbaines traditionnelles du pavillonnaire existant, avec notamment une implantation en retrait par rapport à la rue. Cette morphologie justifie la définition de la hauteur et de l’emprise au sol. En UCa, quartier pavillonnaire présentant des constructions anciennes et récentes, et en UCb, quartier dont le tissu est issu de la création de ZAC, les hauteurs sont fixées à 6m en façade, 9m au faîtage (R+1+C). L’emprise au sol est fixée à 35% pour UCa ; 50% en UCb du fait de la petite taille des parcelles. Le secteur UCc présente des dispositions spécifiques permettant de conserver l’aspect caractéristique présenté par ce tissu alvéolaire auquel sont attachés les habitants : une hauteur plus basse (R+C) que celle des deux autres secteurs, un retrait par rapport aux limites séparatives, une possibilité d’évolution limitée à 20% d’extension. Dans cette zone pavillonnaire UC, la volonté de préserver les espaces verts est plus prégnante, avec une obligation de pleine terre : 40%.

3.3. La zone UC La zone UC correspond au tissu pavillonnaire, divisé en trois secteurs (UCa, UCb, UCc). La réglementation de cette zone permet la préservation des formes urbaines traditionnelles du pavillonnaire existant, avec notamment une implantation en retrait par rapport à la rue. Cette morphologie justifie la définition de la hauteur et de l’emprise au sol. En UCa, quartier pavillonnaire présentant des constructions anciennes et récentes, et en UCb, quartier dont le tissu est issu de la création de ZAC, les hauteurs sont fixées à 6m en façade, 9m au faîtage (R+1+C). L’emprise au sol est fixée à 35% pour UCa ; 50% en UCb du fait de la petite taille des parcelles. Le secteur UCc présente des dispositions spécifiques permettant de conserver l’aspect caractéristique présenté par ce tissu alvéolaire auquel sont attachés les habitants : une hauteur plus basse (R+C) que celle des deux autres secteurs, un retrait par rapport aux limites séparatives, une possibilité d’évolution limitée à 20% d’extension. Dans cette zone pavillonnaire UC, la volonté de préserver les espaces verts est plus prégnante, avec une obligation de pleine terre : 40%.

 | 4.2.2. Les établissements - Répartition de l’activité & Migrations domicile-travail
La base Clap de l’Insee comptabilise en 2012, 10 646 emplois salariés sur la commune. Le commerce et la réparation automobile représentent 39% des emplois salariés domiciliés sur la commune ; l’Administration publique, enseignement, santé et action sociale. En 2009 la commune comptabilisait près de 9 500 emplois salariés, lesquels sont très localisés car groupés à 36% sur le seul Iris Centre Commercial, qui regroupe 43% des postes salariés du secteur marchand. 17 947 actifs occupés à Pontault-Combault pour 10 176 emplois sur la commune (fdmobpro 2012), soit 1 emploi pour 1,8 actifs. Parmi ces actifs occupés, 3 998 ont un emploi sur la commune (22% des actifs de Pontault-Combault, 39% des emplois communaux). Dans le détail, les actifs travaillant à Pontault-Combault viennent à 76% du département de Seine et Marne, dont 39% de Pontault-Combault et 37% du reste du département.
78% des actifs de Pontault-Combault travaillent dans une autre commune (13 949 actifs sortants), alors que la commune draine dans le même temps 6 178 actifs venant de l’extérieur.

4.2.2. Les établissements - Répartition de l’activité & Migrations domicile-travail La base Clap de l’Insee comptabilise en 2012, 10 646 emplois salariés sur la commune. Le commerce et la réparation automobile représentent 39% des emplois salariés domiciliés sur la commune ; l’Administration publique, enseignement, santé et action sociale. En 2009 la commune comptabilisait près de 9 500 emplois salariés, lesquels sont très localisés car groupés à 36% sur le seul Iris Centre Commercial, qui regroupe 43% des postes salariés du secteur marchand. 17 947 actifs occupés à Pontault-Combault pour 10 176 emplois sur la commune (fdmobpro 2012), soit 1 emploi pour 1,8 actifs. Parmi ces actifs occupés, 3 998 ont un emploi sur la commune (22% des actifs de Pontault-Combault, 39% des emplois communaux). Dans le détail, les actifs travaillant à Pontault-Combault viennent à 76% du département de Seine et Marne, dont 39% de Pontault-Combault et 37% du reste du département. 78% des actifs de Pontault-Combault travaillent dans une autre commune (13 949 actifs sortants), alors que la commune draine dans le même temps 6 178 actifs venant de l’extérieur.

 | 7.1.6. Habitats pavillonnaires - Les lotissements récents 
L’urbanisation depuis les années 1980 s’est faite selon les logiques suivantes : les derniers terrains libres ont été absorbés par l’urbanisation, notamment sous forme de ZAC. La structure urbaine de ces opérations tend à renforcer l’isolement général de tous les quartiers. L’architecture est souvent simple, et les clôtures sont assez hétérogènes. Les ZAC en particulier forment des quartiers repliés sur leur composition. Le traitement de l’espace public, souvent de qualité, confère cependant à ces secteurs une certaine homogénéité. La dominance est résidentielle avec des équipements publics ponctuels. La trame urbaine varie selon les époques de construction : trame alvéolaire ou composition urbaine plus hiérarchisée avec des continuités par rapport à la trame de ville. Les parcelles font environ 500m² maximum. La hauteur des bâtiments varie entre R+C et R+1+C. Les matériaux utilisés sont la maçonnerie enduite ton pierre ; les toits, en pente, sont en tuiles plates ou tuiles mécaniques.

7.1.6. Habitats pavillonnaires - Les lotissements récents L’urbanisation depuis les années 1980 s’est faite selon les logiques suivantes : les derniers terrains libres ont été absorbés par l’urbanisation, notamment sous forme de ZAC. La structure urbaine de ces opérations tend à renforcer l’isolement général de tous les quartiers. L’architecture est souvent simple, et les clôtures sont assez hétérogènes. Les ZAC en particulier forment des quartiers repliés sur leur composition. Le traitement de l’espace public, souvent de qualité, confère cependant à ces secteurs une certaine homogénéité. La dominance est résidentielle avec des équipements publics ponctuels. La trame urbaine varie selon les époques de construction : trame alvéolaire ou composition urbaine plus hiérarchisée avec des continuités par rapport à la trame de ville. Les parcelles font environ 500m² maximum. La hauteur des bâtiments varie entre R+C et R+1+C. Les matériaux utilisés sont la maçonnerie enduite ton pierre ; les toits, en pente, sont en tuiles plates ou tuiles mécaniques.

 | 7.1.7. Habitat collectif, Quartier de Gare - 
Le logement collectif privé est désormais important et présent sous la forme de petites opérations avec commerces ou services en rez-de-chaussée. 
Souvent, ce sont de petits immeubles implantés à l’alignement le long des principaux axes de la commune, avec des voies d’accès sous porche à l’arrière du bâtiment pour stationnement. 
Le secteur de la gare était à l’origine un quartier pavillonnaire. Il a connu un réaménagement du parvis afin de sécuriser la circulation. Une mutation s’est ensuite opérée avec la création de collectifs intermédiaires. 
Le prolongement de la ligne E du RER vers la Défense va renforcer l’attractivité du pôle gare de Pontault-Combault. La gare et ses abords ont ainsi été identifiés comme une polarité urbaine structurante à conforter et une zone de développement préférentielle pour l’habitat. La densification pressentie pour le secteur Gare aura lieu en tissu urbain constitué. Elle modifiera donc notablement le paysage actuel.

7.1.7. Habitat collectif, Quartier de Gare - Le logement collectif privé est désormais important et présent sous la forme de petites opérations avec commerces ou services en rez-de-chaussée. Souvent, ce sont de petits immeubles implantés à l’alignement le long des principaux axes de la commune, avec des voies d’accès sous porche à l’arrière du bâtiment pour stationnement. Le secteur de la gare était à l’origine un quartier pavillonnaire. Il a connu un réaménagement du parvis afin de sécuriser la circulation. Une mutation s’est ensuite opérée avec la création de collectifs intermédiaires. Le prolongement de la ligne E du RER vers la Défense va renforcer l’attractivité du pôle gare de Pontault-Combault. La gare et ses abords ont ainsi été identifiés comme une polarité urbaine structurante à conforter et une zone de développement préférentielle pour l’habitat. La densification pressentie pour le secteur Gare aura lieu en tissu urbain constitué. Elle modifiera donc notablement le paysage actuel.

 | ILOT DE CHALEUR URBAIN - Commerce définitivement ferme, parking du centre commercial de Pontault-Combault (77)

L’albédo des villes, ainsi que leur manque de végétation, prédisposent les villes à la création d’îlots de chaleur urbain. Cette mesure de la capacité d'une surface à renvoyer l'énergie solaire incidente (qui arrive à la surface de la terre), est un chiffre compris entre zéro et un ; zéro correspondant à une surface parfaitement noire qui absorbe la totalité de l'énergie incidente, et un au miroir parfait qui renvoie la totalité de l'énergie incidente. Les surfaces sombres, très présentes dans les villes majoritairement bétonnées et goudronnées, absorbent donc une quantité importante d'énergie solaire et se réchauffent plus vite. Les sources anthropiques de chaleur participent donc à la fois au réchauffement climatique global et à l’échauffement local de l’air urbain, participant ainsi à accentuer l’effet d’îlot de chaleur urbain. Lorsque la chaleur naturelle est déjà élevée, notamment à cause du rayonnement infrarouge réfléchi de multiples fois, les chaleurs anthropiques accentuent le phénomène et rendent la ville difficilement supportable en terme de température. La chaleur accablante engendrée par ces îlots de chaleur urbains peut provoquer des inconforts, des faiblesses, des troubles de la conscience, des crampes, des syncopes, voire exacerber les maladies chroniques préexistantes, au point parfois de causer la mort, en particulier sur des populations vulnérables.

ILOT DE CHALEUR URBAIN - Commerce définitivement ferme, parking du centre commercial de Pontault-Combault (77) L’albédo des villes, ainsi que leur manque de végétation, prédisposent les villes à la création d’îlots de chaleur urbain. Cette mesure de la capacité d'une surface à renvoyer l'énergie solaire incidente (qui arrive à la surface de la terre), est un chiffre compris entre zéro et un ; zéro correspondant à une surface parfaitement noire qui absorbe la totalité de l'énergie incidente, et un au miroir parfait qui renvoie la totalité de l'énergie incidente. Les surfaces sombres, très présentes dans les villes majoritairement bétonnées et goudronnées, absorbent donc une quantité importante d'énergie solaire et se réchauffent plus vite. Les sources anthropiques de chaleur participent donc à la fois au réchauffement climatique global et à l’échauffement local de l’air urbain, participant ainsi à accentuer l’effet d’îlot de chaleur urbain. Lorsque la chaleur naturelle est déjà élevée, notamment à cause du rayonnement infrarouge réfléchi de multiples fois, les chaleurs anthropiques accentuent le phénomène et rendent la ville difficilement supportable en terme de température. La chaleur accablante engendrée par ces îlots de chaleur urbains peut provoquer des inconforts, des faiblesses, des troubles de la conscience, des crampes, des syncopes, voire exacerber les maladies chroniques préexistantes, au point parfois de causer la mort, en particulier sur des populations vulnérables.

 | Lden, Ld, Ln : L’intensité sonore d’une source donnée varie au cours du temps et notamment dans la journée, sa perception par l’être humain est aussi différente en journée ou pendant la nuit. La perception de l’intensité sonore par l’être humain est différente en journée, le soir et pendant la nuit. “Lday“ (ou “Ld”), “Levening“ (ou “Le”) et “Lnight“ (ou “Ln”) sont des indicateurs du niveau sonore pendant le jour (de 6h à 18h), le soir (de 18h à 22h) et la nuit (de 22h à 6h). Ils sont exprimés en dB(A) et correspondent à des moyennes sur les périodes de temps concernées. Les intitulés de ces indicateurs proviennent de la langue anglaise : L pour Level = niveau, day = jour, evening = soir et night = nuit. De plus, une pondération de +5 dB(A) est appliquée à la période du soir et de +10 dB(A) à celle de la nuit, pour tenir compte du fait que nous sommes plus sensibles au bruit au cours de ces périodes. Les indicateurs de bruit Lden et Ln sont utilisés pour l'élaboration des cartes stratégiques du bruit (il s’agit d’une exigence réglementaire). Ils correspondent à des moyennes temporelles et traduisent une notion de gêne globale ou de risque pour la santé. Les gestionnaires d’infrastructures sont impliqués dans la réalisation du plan de prévention du bruit dans l’environnement de l’Etat, pour les axes circulés à plus de 3 millions de véhicules par an ou 30 000 passages de trains.

Lden, Ld, Ln : L’intensité sonore d’une source donnée varie au cours du temps et notamment dans la journée, sa perception par l’être humain est aussi différente en journée ou pendant la nuit. La perception de l’intensité sonore par l’être humain est différente en journée, le soir et pendant la nuit. “Lday“ (ou “Ld”), “Levening“ (ou “Le”) et “Lnight“ (ou “Ln”) sont des indicateurs du niveau sonore pendant le jour (de 6h à 18h), le soir (de 18h à 22h) et la nuit (de 22h à 6h). Ils sont exprimés en dB(A) et correspondent à des moyennes sur les périodes de temps concernées. Les intitulés de ces indicateurs proviennent de la langue anglaise : L pour Level = niveau, day = jour, evening = soir et night = nuit. De plus, une pondération de +5 dB(A) est appliquée à la période du soir et de +10 dB(A) à celle de la nuit, pour tenir compte du fait que nous sommes plus sensibles au bruit au cours de ces périodes. Les indicateurs de bruit Lden et Ln sont utilisés pour l'élaboration des cartes stratégiques du bruit (il s’agit d’une exigence réglementaire). Ils correspondent à des moyennes temporelles et traduisent une notion de gêne globale ou de risque pour la santé. Les gestionnaires d’infrastructures sont impliqués dans la réalisation du plan de prévention du bruit dans l’environnement de l’Etat, pour les axes circulés à plus de 3 millions de véhicules par an ou 30 000 passages de trains.

 | Révision du PLU de Pontault Combault - Dossier N°E18000006/77 - du 5 février 2018 - T. Administratif de Melun
« Le manque de possibilité de stationner est un problème évoqué par la majorité des contributeurs, avec comme corollaire les stationnements sauvages qui gênent la circulation et mettent en danger les piétons. Pour beaucoup, le recours aux transports en commun nécessite un véhicule pour se rendre à la gare, faute d’autre solution. Les possibilités de stationnement y sont déjà insuffisantes ce qui fait craindre de grandes difficultés si la densification entraîne un plus grand nombre de personnes ayant elles aussi recours à leur voiture. Les habitants qui se sont exprimés sur ce sujet, oralement, craignent qu’il n’y ait pas de construction de parkings en nombre suffisant, et qu’il soit vain d’espérer la mise en place de navettes reliant les différents quartiers à la gare, ce qui serait de nature à dissuader les automobilistes de prendre leur voiture. Cette préoccupation est très importante et source de profonds mécontentements. »
In Rapport conclusions et avis de Madame Marie-Françoise Blanchet, Commissaire-enquêtrice

Révision du PLU de Pontault Combault - Dossier N°E18000006/77 - du 5 février 2018 - T. Administratif de Melun « Le manque de possibilité de stationner est un problème évoqué par la majorité des contributeurs, avec comme corollaire les stationnements sauvages qui gênent la circulation et mettent en danger les piétons. Pour beaucoup, le recours aux transports en commun nécessite un véhicule pour se rendre à la gare, faute d’autre solution. Les possibilités de stationnement y sont déjà insuffisantes ce qui fait craindre de grandes difficultés si la densification entraîne un plus grand nombre de personnes ayant elles aussi recours à leur voiture. Les habitants qui se sont exprimés sur ce sujet, oralement, craignent qu’il n’y ait pas de construction de parkings en nombre suffisant, et qu’il soit vain d’espérer la mise en place de navettes reliant les différents quartiers à la gare, ce qui serait de nature à dissuader les automobilistes de prendre leur voiture. Cette préoccupation est très importante et source de profonds mécontentements. » In Rapport conclusions et avis de Madame Marie-Françoise Blanchet, Commissaire-enquêtrice

 | ACHAT MAISON 5 PIECES - Zone pavillonnaire, Pontault-Combault (77) - 
Dans le quartier très recherché du Village Anglais à Pontault-Combault, venez découvrir ce pavillon de plain pied en bordure de forêt sans vis à vis. 
A 15 mn à pied de la gare RER E, votre agence vous propose cette maison composée d'un double séjour lumineux de 35m², d'une cuisine, de 3 chambres de 9m² à plus de 13m², d'une salle de bain et d'une salle d'eau, le tout sur un terrain de 650m² clos et arboré. Vous y trouverez aussi une dépendance de 10 m² et un garage de 18 m². 
Venez visiter sans tarder !

ACHAT MAISON 5 PIECES - Zone pavillonnaire, Pontault-Combault (77) - Dans le quartier très recherché du Village Anglais à Pontault-Combault, venez découvrir ce pavillon de plain pied en bordure de forêt sans vis à vis. A 15 mn à pied de la gare RER E, votre agence vous propose cette maison composée d'un double séjour lumineux de 35m², d'une cuisine, de 3 chambres de 9m² à plus de 13m², d'une salle de bain et d'une salle d'eau, le tout sur un terrain de 650m² clos et arboré. Vous y trouverez aussi une dépendance de 10 m² et un garage de 18 m². Venez visiter sans tarder !